Alors que s'achève l'été, quelques doux mois de soleil qui l'auront vu gravir les scènes de grands événements culturels — celles du Festival international de Jazz de Montréal et de la première édition ambitieuse de St-Jérôme Folk, notamment, mais aussi celle du Rockwood Music Hall de New York —, gagnant chaque fois le coeur des foules, COCO MÉLIÈS s'apprête à prendre le départ la France. Là pour la toute première fois, du 9 octobre au 24 octobre, le duo donnera une série de 11 spectacles qui les mènera de La Celle-Dunoise à Paris, en passant par Angers et Chalôns-en-Champagne. Un occasion belle pour la paire — dont L'Express faisait récemment portrait par ailleurs, donnant suite à leur prestation au Festival international de Jazz de Montréal —, de révéler sur scène à l'Hexagone les 11 titres de son encensé Lighthouse, de même que sa séduisante et inédite « Paper Plane », trame sonore des beaux jours depuis sa parution en mai dernier.
COCO MÉLIÈS
Avec The Walking Birds, son tout premier EP, COCO MÉLIÈS a vogué du Canada à la France, puis du Québec aux États-Unis. Après deux années écoulées à écumer les scènes d'ici et d'ailleurs, les deux jetaient l'ancre à Montréal pour y lancer un premier long jeu, Lighthouse — paru sous étiquette Costume Records en septembre dernier.
Co-réalisation de Robbie Kuster — reconnu notamment pour sa collaboration avec Patrick Watson —, à laquelle ont contribué François Lafontaine (Karkwa, Marie-Pierre Arthur, Galaxie), Pietro Amato (The Luyas, Arcade Fire, Bell Orchestre) et Mathieu Pontbriand (Pawa Up First), l'album se révélait d'une beauté trouble, oscillant « entre deux pôles, celui plus sombre d'une tortueuses plongée dans les méandres de la quête de soi comme Someway, et celui plus guilleret d'un refrain tout en onomatopées comme Home, tube en devenir à classer aux côtés des récents succès des Lumineers et de Mumford & Sons » — La Tribune. Une oeuvre « phare » ; la matérialisation de la symbiose de deux univers, de deux voix, celles de David Méliès et de Francesca Como.
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