Motörhead - Aftershock : ma revue


Dans mes oreilles cette semaine, on s’en va dans le old school avec le dernier Motörhead intitulé Aftershock. Les gars ont su se garder à jour et sur la map notamment en signant les musiques d’entrée de Triple H. Plongons nous donc dans l’univers bourré de testostérone de Motörhead.




Heartbreaker : Première chose que je remarque : le christie de tone de guit de la mort. L’écriture est old school à souhait mais la production est adaptée à 2013. Commentaire qui vaut pour le reste de l’album aussi !

Coup de grace : Un peu linéaire comme toune. Passe un peu dans le beurre. Refrain correct et bon solo.

Lost woman blues : Le titre le dit : c’est du blues. La prestation vocale de Lemmy est un peu plus intéressante que ses rugissements habituels. Bon morceau.

End of time : On passe en 5e vitesse. Un bon thrash old school comme Motörhead nous a habitué depuis les années 70.  Les nostalgiques de Ace of Spade vont tripper. Après le blues plus tranquille, celle là rentre dedans.

Do you believe : Le party pogne. La run de bass est solide. On baisse les vitres du char !

Death machine : Peut-être une coche trop mainstream. Moins mordant un peu. Par contre la montée vers le refrain et le bridge sont solides.

Dust and glass : Tentative clean nettement moins intéressante.

Going to Mexico : Après les tounes plus smooth, les plus rapides sont placées là pour maximiser leur effet. C’est le cas pour ce morceau au refrain solide. Kick ass solo aussi.

Silence when you speak : Rien de fancy là, bref … pas grand chose là …

Crying shame : Juste mauvais, half-ass, passe dans le beurre.

Queen of the damned : La toune de l’album où l’influence punk est la plus présente, et ça fait du bien !

Knife : La riff de base est un peu faible mais ça se reprend de belle façon vers la fin avec un bon solo.

Keep your powder dry : Méga efficace. N’eut été de la voix caractéristique de Lemmy, c’est une toune de hair metal.

Paralysed : Sans être mauvais, plusieurs chansons de l’album lui ressemblent. C’est elle qui paie. Bon solo.


Motörhead a encore un fanbase pour quelque chose.  Sans se classer parmi les classiques du band, cet album est décent. Une coche répétitif, des tentatives créatives parfois bonnes, parfois non mais qui compense par une efficacité digne des grands. 7/10

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