Blind Digital Citizen, soit cinq garçons grandis en banlieue parisienne, forment une bande à part, à la fois innocente et explosive, et dotée d’un talent d’écriture comme on en compte bien peu en France.
Prenant à rebours leurs précédents singles — « Ravi » et « Dvek » , puissants et sauvages — « Cumbia », le nouvel extrait de leur premier album Premières vies est une balade psychédélique et électronique sur le thème de l’amitié, une chanson écrite « comme un banquet chez Astérix après avoir vécu une grande aventure ».
L’univers synthétique et prophétique de Blind Digital Citizen — héritier d’une certaine chanson française, de Gérard Manset à Rone — est ici mis en images par l’un des ses membres, Jean Turner. Déjà responsable des très belles pochettes du groupe, il mélange avec poésie bestiaire antédiluvien et visions futuristes dans un très beau film qui évoque à la fois la candeur d’un Disney vintage et l’étrangeté de La planète sauvage. On y flotte comme dans un rêve, croisant tout à tour de pacifiques dinosaures en toges, de mystérieux visiteurs de l’espace ou encore un inquiétant cyclope.
Prenant à rebours leurs précédents singles — « Ravi » et « Dvek » , puissants et sauvages — « Cumbia », le nouvel extrait de leur premier album Premières vies est une balade psychédélique et électronique sur le thème de l’amitié, une chanson écrite « comme un banquet chez Astérix après avoir vécu une grande aventure ».
L’univers synthétique et prophétique de Blind Digital Citizen — héritier d’une certaine chanson française, de Gérard Manset à Rone — est ici mis en images par l’un des ses membres, Jean Turner. Déjà responsable des très belles pochettes du groupe, il mélange avec poésie bestiaire antédiluvien et visions futuristes dans un très beau film qui évoque à la fois la candeur d’un Disney vintage et l’étrangeté de La planète sauvage. On y flotte comme dans un rêve, croisant tout à tour de pacifiques dinosaures en toges, de mystérieux visiteurs de l’espace ou encore un inquiétant cyclope.
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