Jardin Mécanique - plus délirant que jamais

Attachez vos tuques avec de la broche rouillée, le projet musical le plus éclaté de l'automne est à nos portes! Jardin Mécanique sera effectivement de retour le 9 octobre prochain avec La sinistre histoire du Théâtre Tintamarre - épisode 2, suite logique et complètement folle de la première oeuvre qui en avait remué plus d'un à sa sortie en 2012.



Depuis sa naissance en 2009, Jardin Mécanique ne cesse de surprendre par sa démarche audacieuse et globale, ancrée autant dans le rock que le théâtre. Du côté musical, le trio formé de Francis Gagnon, de Philippe Coulombe et de Sylvain De Carufel n'hésite pas à faire tomber les frontières entre les genres, alliant rock, classique, pop, métal, chanson et plus encore. Le tout est livré dans une ambiance riche et souvent sombre, non sans rappeler les trames de Tim Burton, à l'instar de l'esthétisme des représentations, des décors, des conceptions visuelles et graphiques. Une expérience artistique globale, vous dites?

Attirés par cette démarche unique, de nombreux collaborateurs de renom ont accepté de se joindre à ce nouvel enregistrement. Parmi eux, notons le guitariste Dan Mongrain (Voivod), le multi-instrumentiste Guillaume Bourque (Sagapool, Dany Placard, Chantal Archambault, David Marin), le violoncelliste Philippe Mius d'Entremont (Les Ékorchés, BARF) le pianiste Alexis Dumais (Loco Locass, Sagapool, Pierre Lapointe), la violoniste Zoé Dumais (Sagapool) et la chanteuse Marianne Lambert (OSM, Orchestre métropolitain, Orchestre symphonique de la Grande-Bretagne). 

Satirique et burlesque
Sur l'album, mais surtout sur les planches, vous serez subjugués par la performance des trois musiciens/acteurs qui livrent avec aplomb leur histoire saisissante. On découvre que quelque entre le début et la fin du 19ième siècle, la ligne du temps se faisant vieille et fragile, s’est fissurée. Dans cette faille intemporelle, ensevelit sous la poussière de la révolution industrielle et détrempée par la pluie mélancolique de l’époque romantique, un étrange auditorium dresse ses angles sur la rue des Octobres comme autant de joyaux vénéneux.

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