Dans le regard, dans le sourire, dans la voix… Matt Tomlinson a quelque chose du rêveur.
Et dès les premières notes de « Planet of Choice », pièce d’introduction de ce tout nouvel EP, Ou presque, une réalisation d’Yves Dérosiers parue en mai dernier, c’est dans cet ailleurs où est posé sa tête qu’il nous emporte. Un monde de beaux Brummell lunaires fait de folk-cinéma et de mots habiles — fruit d’une collaboration complice avec le co-auteur Michael Dudemaine —, d’arrangements luxuriants et de mélodies enjôleuses.
Pour la toute première fois en français, l'auteur-compositeur-interprète met à jour sa poésie belle et dépouillée, une langue qui évoque, toujours, mais jamais ne calque, unique. « Veux-tu accepter gentiment, l'expression de mes sentiments, les plus sincères... ou presque », chante-t'il sur la pièce titre et premier extrait de ce préambule au long jeu — à paraître en novembre prochain. On se laisse prendre au jeu de ce dialogue presqu'amoureux, le sourire en coin.
Lien vers le premier extrait sur Bootcamp
Et dès les premières notes de « Planet of Choice », pièce d’introduction de ce tout nouvel EP, Ou presque, une réalisation d’Yves Dérosiers parue en mai dernier, c’est dans cet ailleurs où est posé sa tête qu’il nous emporte. Un monde de beaux Brummell lunaires fait de folk-cinéma et de mots habiles — fruit d’une collaboration complice avec le co-auteur Michael Dudemaine —, d’arrangements luxuriants et de mélodies enjôleuses.
Pour la toute première fois en français, l'auteur-compositeur-interprète met à jour sa poésie belle et dépouillée, une langue qui évoque, toujours, mais jamais ne calque, unique. « Veux-tu accepter gentiment, l'expression de mes sentiments, les plus sincères... ou presque », chante-t'il sur la pièce titre et premier extrait de ce préambule au long jeu — à paraître en novembre prochain. On se laisse prendre au jeu de ce dialogue presqu'amoureux, le sourire en coin.
Lien vers le premier extrait sur Bootcamp
Publier un commentaire