Sonata Arctica - Pariah's child : ma revue



Les finlandais de Sonata Arctica ont commencé dans le power metal au tournant du millénaire. Ils nous arrivent avec leur plus récent album Pariah’s child.


The Wolves die young : Les guits rentrent bien. Je tripe pas vraiment sur le clavier. Je trouve la toune un peu linéaire, le vocal manque d’agressivité par bout. La toune ne renouvelle pas le genre loin de là.

Running lights : J’entend Stratovarius en début de toune, manque d’originalité flagrant. Le couplet est solide, j’aime bien la ligne de bass. Par contre ça mène vers un refrain faible quoique bien joué en finale.

Take one breath : J’aime la run de piano au début. La progression est bonne. Le vocal est également plus cru. Le bridge est bon, les arrangements aussi : thumbs up.

Cloud factory : La toune est bien faite. C’est du power metal dans la plus pure tradition. Très catchy. Le bridge sauve la toune d’être juste une autre toune power metal.

Blood : Bonne intro très théâtrale. Le couplet est pesant comme je les aime et ça mène à un power metal épique que les amateurs apprécieront certainement. Le bridge est solide aussi. Meilleure de l’album.

What did you dou in the war dad : J’aime bien la mélodie et la théâtralité de la pièce. Ça frise le quétaine par contre. C’est sur la ligne. C’est à cause de pièces comme celle-ci que le power métal a ses die hard fans et … ses haters.

Half a marathon man : L’intro est intrigante qui mène vers un 80’s metal plus léger. Ça change du ton habituel du groupe. Le refrain est catchy. Toune de char !

X marks the spot : Plus léger comme chanson aussi. Le côté épique et le côté party de la toune se mélangent mal si bien que j’embarque juste dans le party !

Love : On a là un slow quétaine à mort. Pas écoutable.

Larger than life : L’intro orchestrale est vraiment quétaine. J’ai l’impression d’avoir délivré une princesse : yark ! Un enchaînement de bon rock épique et d’orchestrations quétaines.

Comme dans plusieurs disques de power metal, il y a des petits bijoux de chansons, mais aussi du très quétaine. Le style a ses fans et ses détracteurs et ce n’est pas pour rien. Cet album là en est l’exemple parfait. Les bonnes tounes valent la peine d’être achetée à la pièce !  7/10

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